Kung Fu Club de Plaisance du Touch

Club Amateur de Kung Fu de Plaisance du Touch - Style Tang Lang Quan - 螳螂拳

Rentrée 2022-2024

大家好
Le Kung Fu Club de Plaisance du Touch vous accueille à partir du lundi 4 septembre pour la saison 2023-2024.
Au programme, Tao, technique et combat pour découvrir les arts martiaux chinois au travers du Kung Fu traditionnel. Mais également des anecdotes sur la vie en chine et cette vaste culture.

RDV au dojo Jules Verne. Pour avoir plus d’informations n’hésitez pas à vous rendre sur la page informations et tarifs .

Aussi, les cours d’essais sont gratuits, avec ou sans rendez-vous. Nous vous ouvrons nos portes, pour venir essayer et découvrir l’ambiance.

Pour rappel, notre club accueille uniquement un public adulte, à partir de 16 ans.

Venez passer une tête !
再见

Rentrée 2021-2022

大家好

Bonjour et bienvenue à tous,
Après une année tumultueuse, le Kung Fu Club de Plaisance du Touch est heureux de réouvrir ses portes pour la saison 2021-2022.
Au programme, Tao, technique et combat pour découvrir les arts martiaux chinois au travers du Kung Fu traditionnel.

La rentrée a lieu le 2 septembre, au dojo Jules Verne, pour avoir plus d’informations n’hésitez pas à vous rendre sur la page informations et tarifs .

Aussi, les cours d’essais sont gratuits, avec ou sans rendez-vous. Nous vous ouvrons nos portes, pour venir essayer et découvrir l’ambiance.

On vous attend !
再见

Kung Fu & Tang Lang Quan

Le Kung Fu Wushu

Le terme »Kung Fu » est mal utilisé. En effet si l’on souhaite parler de l’art martial, nous devons employer le terme « Wushu ». Le mot « Kung Fu » si l’on voulait le traduire voudrait dire « le travail de l’Homme » ou comment faire son possible pour arriver à une maîtrise de son activité.

Un homme ou une femme pour faire du Kung Fu en musique, cuisine, études …

D’où le terme de « Kung Fu Wushu » la maîtrise de l’art de la guerre.

L’origine des arts martiaux est attribuée à des nécessités d’auto-défense, des activités de chasse et à la formation militaire dans l’ancienne Chine. Le combat au corps à corps et la pratique des armes ont été importants dans la formation des soldats chinois. Les arts martiaux chinois intégrèrent à leur pratique différentes philosophies et concepts, s’élargissant, au-delà de la seule auto-défense, à l’entretien physique pour finalement devenir une méthode d’éducation personnelle. L’influence des idéaux martiaux dans la société civile se propagea ultérieurement dans la poésie, la fiction littéraire, puis à notre époque dans les films.

En Chine, la pratique des arts martiaux traditionnels a été découragée au cours des années turbulentes de la Révolution culturelle (1969-1976). A l’instar de nombreux autres aspects de la culture traditionnelle, les arts martiaux ont été soumis à une transformation radicale de la RPC afin de les aligner avec la doctrine révolutionnaire maoïste. La RPC a soutenu une pratique sportive dirigée par un comité officiel, comme remplacement des écoles indépendantes d’arts martiaux. Ce nouveau sport de compétition a été dissocié de ce qui était alors perçu comme potentiellement subversif : les aspects d’auto-défense et d’accomplissement individuel, et les lignées familiales de transmission. En 1958, le gouvernement créa l’Association chinoise de wushu, une organisation chargée de diriger et règlementer l’enseignement des arts martiaux. La Commission d’Etat des sports a pris l’initiative de créer des formes martiales standardisées pour la plupart des arts majeurs. Durant cette période le système du wushu moderne fut établi, comprenant des formes standardisées, des programmes pédagogiques, des instructeurs et des classements. Ce sport fut introduit à l’école secondaire et dans les universités. La suppression de l’enseignement traditionnel au cours de la période de reconstruction (1976-1989) a été assouplie, l’idéologie communiste étant devenue plus accommodante.

Dans les années 1990, les changements dans les politiques gouvernementales ont conduit à de nouvelles approches du sport et à la fermeture en 1998 de la Commission des sports, perçues comme une tentative de dépolitiser partiellement l’organisation des sports et d’adapter les sports à de nouvelles logiques de marché. En raison de ces changements de société, les deux approches des arts martiaux, traditionnelle et moderne, sont aujourd’hui soutenues par le gouvernement en tant qu’éléments de la culture chinoise.

Source : wikipedia

Tang Lang Quan

Le fondateur du style de la mante religieuse serait un certain Wong Long. Il serait né en Chine durant la dynastie Ming (1368 – 1644) dans le district de Jimo dans la province de Shandong. Il viendrait d’une famille aisée et aurait étudié les arts martiaux dans sa jeunesse auprès des moines de ShaoIin.

Wong Long, plus petit et moins fort physiquement que ses homologues se faisant battre à chaque combat. Aussi il décida de trouver un moyen de pallier le manque de force.

Un jour en se promenant, Wong fut témoin d’un combat entre une mante religieuse et une sauterelle. Wong Long fut fasciné par l’agressivité, la vitesse et la force de la mante religieuse. Quand la sauterelle attaquait, la mante se jetait sur le côté, et avec la vitesse et la force de l’éclair elle immobilisait la sauterelle avec ses avant-bras puissants. Wong Long emmena la mante chez lui pour l’étudier de près.

Il employa un roseau pour poignarder la mante et soigneusement étudia ses mouvements, examinant comment elle réagissait aux diverses situations. Wong imitait alors ces actions et lentement son système évolua.

Wong Long a longuement compilé ces mouvements dans ce qui est connu aujourd’hui comme formule verbale de douze mots clés, les sept longs, huit courts, huit modèles rigides de main, les douze modèles flexibles de main, les huit points vulnérables et huit d’attaque mortelle. Ceci a mené au développement du modèle du style de la mante religieuse avec ses mouvements caractéristiques forts et rapides.

Quand Wong Long a été satisfait, il a ajouté au nouveau modèle les meilleures techniques tirées des dix-sept autres modèles qu’il avait précédemment étudiés. Plus il pratiquait, plus il se rendait compte que bien que la structure du modèle ait été très rapide, dépeignant la puissance et la vitesse de la mante, le jeu de pieds était inadéquat pour délivrer des coups brefs. C’est en observant, plus tard des singes qui jouaient ou combattaient, que la solution lui apparut clairement. S’il pouvait fusionner les positions intelligentes du singe avec les mouvements de main de la mante, la vitesse des mains et des pieds serait assurée.

Au-delà de la légende, on peut observer qu’il s’agit d’un style syncrétiste qui mêle les techniques de main de divers styles de la grue et les techniques de déplacements du singe. La multitude des styles de mante religieuse, tous issus de la province du Shandong, et qui se sont ensuite répandues vers le Sud de la Chine, montre la complexité à construire sérieusement une « généalogie ». Il existe des styles, branches et écoles de mante religieuse du Shandong qui n’ont pas encore été répertoriés.